Investir sur les marchés financiers ou dans l’immobilier permet aux particuliers de placer leur épargne et de la rentabiliser à plus ou moins long terme. Mais quel est l’investissement le plus rentable et commencer à garantir le caractère sûr d’un investissement dans des investissements de toute nature? Retour sur les avantages et les inconvénients d’investir son argent en bourse ou dans l’immobilier…
Investir dans l’immobilier : le pour et le contre
Le secteur immobilier en particulier et l’investissement immobilier en général sont jugés plus stables et plus rassurants par les observateurs et les spécialistes, qui recherchent avant tout un placement attractif et garanti. Ainsi, le premier avantage d’investir dans l’immobilier par rapport à un investissement en bourse est de pouvoir disposer d’une réelle épargne qui donne lieu à une rente à long terme. L’autre force de cet investissement est de pouvoir transmettre un bien immobilier à vos descendants, grâce à la valeur intrinsèque du bien locatif. Au final, même si certains investissements s’avèrent payants dans le temps, le secteur immobilier s’est révélé beaucoup plus résistant aux aléas de la crise économique, surtout depuis 2008.
La vigueur des investissements immobiliers se mesure aisément depuis cette période par rapport à l’indice CAC40, dont la nature est relativement dépendante des fluctuations des marchés. Contrairement à l’investissement en bourse, l’évolution des prix au mètre carré dans le secteur de l’immobilier continue d’augmenter régulièrement, du moins sur le marché du logement classique. Bien que l’on puisse toutefois observer, en plus, une certaine fragilité des édifices prestigieux de la capitale. Ce phénomène s’expliquait il y a quelques années par un resserrement de l’économie fiscale, ainsi que par une perte d’attractivité de la France, par rapport à d’autres places fortes comme Londres ou Dubaï.
Sachez que si vous souhaitez investir sur le marché financier, votre capital se constituera au fur et à mesure de vos apports, de vos versements successifs et des intérêts versés. En général, la nature des (nombreux) produits disponibles sur le marché est risquée, donc leur rentabilité est variable. Pour vous assurer d’aborder l’investissement avec la bonne approche, nous vous recommandons Binck. Concrètement, les marchés financiers alternent rendements record, mais aussi chutes vertigineuses. Par exemple, entre janvier 2003 et janvier 2007, le CAC40 est tombé à 2 800 points puis est remonté à 5 600 points. Si les professionnels des marchés financiers sont en mesure de profiter de ces évolutions en encaissant de solides plus-values, d’autres risquent au contraire de perdre la plume.
