Une nouvelle plateforme de recherche immobilière qui vise à proposer des biens via des outils innovants? Créé par un consortium de professionnels de l’immobilier qui n’ont pas su négocier le changement numérique, Bien’ici répond parfaitement à votre cahier des charges. Et il vise à battre son rival Seloger.com sur son propre terrain.

Un pour tous et tous pour un!

Face à une concurrence numérique de plus en plus forte, les acteurs du marché immobilier ont décidé de riposter avec leur propre site. C’était fin 2015. Il y avait des agents immobiliers, des promoteurs, des administrateurs de biens. Des organismes -dont le Syndicat National des Professionnels de l’Immobilier (SNPI), la Fédération Nationale de l’Immobilier (Fnaim) et la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI)- et de nombreux réseaux comme Century 21, Orpi ou Laforêt, se sont regroupés pour officialiser le lancement de sa propre plateforme numérique, Bien’ici. Avec l’intention de se tailler une place sur le marché de la publicité immobilière en ligne.

A y regarder de plus près, cependant, quelques visages manquaient. visages numériques. En effet : les purs joueurs d’Internet ont été exclus du club, comme ces élèves qui en cours de gym ne voulaient choisir aucune équipe. Ce n’est pas surprenant, puisque le lancement de Bien’ici a un objectif économique très clair : briser le monopole de Seloger.com. Vous pensez donc que si les pure players ne sont pas les bienvenus, c’est qu’ils monopolisent depuis trop longtemps le podium des qualificatifs.

Rester. com : le site à détruire

Depuis 20 ans, Seloger. com a dominé de plusieurs têtes le marché de l’immobilier en ligne, avec un chiffre d’affaires de quelque 100 millions (en 2012), ses 5,5 millions de visiteurs uniques par mois, ses 20 millions de visiteurs au total (en janvier 2016), et ses 120 millions d’alertes email. Un succès que rien ne semble pouvoir arrêter : en septembre 2015, le site a atteint un record avec 3 millions de connexions vendeurs/acheteurs en un seul mois.

C’est comme si les chiffres du site étaient bloqués en mode « augmentation » depuis 1996, date de sa création. Entre janvier 2015 et janvier 2016, il y a +11,56 % de visites mensuelles, +2,88 % de pages vues mensuelles, +10,38 % de visites quotidiennes. Une santé insolente que les acteurs traditionnels du secteur se sont lassés de regarder de loin sans réagir.

Le site Bien’ici est votre réponse à cette domination de 20 ans. Une plateforme ergonomique, bien pensée, qui intègre plusieurs fonctionnalités. Et qui boit sur ces mêmes réseaux qui mettent leurs pubs sur… Seloger.com! Avant d’entrer dans l’arène, Bien’ici a pris soin de polir ses armes : à l’ouverture, en décembre, il y avait environ 300 000 annonces. Avec, d’ici quelques mois, l’objectif d’atteindre 1,5 million de biens disponibles – c’est-à-dire ce que pèsent les acteurs du consortium – et un peu plus que le nombre total d’annonces sur Seloger.com. C’est une grande différence à rattraper, mais Seloger. com a une longueur d’avance. Ce qui ne fait pas peur à Bien’ici : avec ses fonctionnalités pratiques, le site déferle déjà en termes d’usage pur (voir le comparatif entre les deux plateformes dans cet article).

Bien’ici : un point d’entrée unique pour les recherches immobilières

La particularité de Bien’ici est qu’en regroupant les professionnels de la vente immobilière, cette nouvelle plateforme (disponible sous forme d’application pour les appareils mobiles) exclut les propriétaires particuliers qui souhaiteraient vendre (ou louer) leur bien par leurs propres moyens. Vous devez faire partie du cénacle pour pouvoir accéder à Bien’ici.

L’objectif est de fournir aux clients du site (acheteurs potentiels et candidats à la location) un point d’entrée unique pour tous les services et informations recherchés. Lorsqu’un client va chercher un bien, il consulte généralement trois sites : le premier, pour trouver des annonces immobilières ; le second, pour les géolocaliser et les localiser (dans une ville, dans un quartier, voir ce qu’il y a autour, etc. )); le troisième, pour obtenir des informations complémentaires sur les infrastructures, les équipements, les services, bref tout ce qui peut conduire à la décision d’acheter ou de louer ici et pas là (sites des mairies par exemple). L’idée maîtresse de Bien’ici est de faciliter le processus en regroupant ces trois types de recherche en un seul.

Bien’ici ressemble à une version immobilière de Google Earth avec laquelle l’utilisateur peut explorer à volonté une vaste carte pour visualiser les points d’intérêt proches des biens qui l’intéressent. Écoles, commerces, stations de transports en commun… La plateforme inverse le mode de recherche classique, proposant au client de mettre le doigt sur un appartement ou une maison en fonction de la distance à une crèche ou une station de métro (par exemple), au lieu de l’autre. autourQuand on demande à une appli de trouver un lieu où se loger ou sortir (hôtel ou restaurant), on a tendance à se fier à la proximité des gares, et c’est justement ce que Bien’ici a voulu utiliser pour l’application immobilière.

Mais comment convaincre les internautes de détourner le regard des sites de votre concurrent, qu’ils fréquentent déjà régulièrement, pour se référer à celui-ci? C’est tout le problème d’un nouvel entrant dans le numérique : une honte pour les acteurs qui font de l’immobilier physique de la pluie et du beau temps depuis des décennies. Pour séduire les clients, Bien’ici mise avant tout sur la facilité de prise en main, sur la simplification des démarches, mais aussi sur un design calculé jusqu’à la colonne.

Le modèle accepté du design graphique? Le jeu vidéo. Ou la sécurité d’avoir une interface simple d’utilisation, ergonomique et même ludique. Plus que Google Earth, l’utilisateur a le sentiment de jouer à un jeu de stratégie à la Civilization, avec sa vaste carte en 3D à explorer à volonté. Vous pouvez faire le tour des bâtiments, parcourir les rues, cliquer sur les points d’intérêt. Par la suite, le site intégrera une fonction « soleil » qui permettra d’exposer le bien.

L’autre avantage de Bien’ici, et non des moindres, c’est qu’il est aussi une fenêtre ouverte sur l’avenir. Les visiteurs ont ainsi la possibilité de visualiser l’emplacement des programmes immobiliers neufs, non encore livrés par les promoteurs. Ainsi, on peut scruter des bâtiments en construction ou des zones à démarrer, histoire de visualiser l’environnement et le quartier avant d’investir dans un programme qui n’a pas encore vu le jour. De quoi obtenir votre crédit chez Vousfinanciar.com en toute sérénité.